« L’homme qu’il faut à la place qu’il faut », il s’agit du modus operandi choisi par le Chef de l’Etat depuis maintenant une dizaine d’année à la tête du Gabon. Opposé aux pratiques moyenâgeuses qui obstruaient l’action gouvernemental, ce dernier n’a pas hésité à dresser un nouvel idéal de gestion capable de répondre aux enjeux de développement du pays.
L’arrivée d’Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême, marque la fin des systèmes improductifs au sein de l’appareil étatique gabonais. Fini la République du « nom », du bras long ou il fallait être affublé d’un patronyme proche de la sphère dirigeante en place pour jouir de ces bienfaits. Les passe-droits, les titres fonciers à certains postes ont été bannis du mode de gouvernance gabonais.
Grâce à des décisions fortes le Président de la République a procédé à un casting strict des hommes appelés à l’accompagner dans ses prérogatives quotidiennement.
A ce jour, malgré la crise financière qui a sévit l’économie gabonaise ces derniers temps, il faut dire que le climat des affaires c’est nettement améliorer en témoigne les rapports de différents organismes internationaux, mais également des décisions fortes telles que l’assainissement des finances publiques, la mise en place du Plan de relance économique (Pre), qui nécessitaient des hommes vaillants prêt à taper du poing sur la table afin de faire bouger les lignes. Le secteur du transport pose clairement des pierres pour rendre encore mieux le mandant du Président de la République.
Nous saluons la dynamique impulsée par le Président. Les grands projets ne peuvent voir le jour qu’à une condition, avoir des hommes compétents pour les concrétiser. C’est le cas déjà depuis quelques années, car la transformation socio-économique amorcée continue de porter ses fruits aux près de la couche sociale la plus faible.
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