Poursuivant leur mission de mise en exergue des chantiers initiés par le ministère des Travaux Publics depuis l’arrivée du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), la délégation des journalistes nationaux, accompagnée des responsables provinciaux des Travaux Publics du Woleu-Ntem, a parcouru les tronçons routiers Bibasse-Sam (84 Km), Sam-Medouneu (70 Km) et Sam-Mitzic (54 Km), soit un linéaire total de 208 Km, ce mercredi 08 janvier 2025.
Les professionnels des médias se sont fait une idée précise des travaux de réhabilitation de ces axes routiers qui étaient fermés à la circulation.Du moins ceux sur lesquels l’on avait observé plusieurs dégradations importantes qui ne permettaient plus aux usagers de circuler correctement. Les travaux commandés aux sociétés adjudicataires concernaient le rechargement général sur tous les linéaires, en plus de l’ensoleillement mécanisé, du traitement des bourbiers, de la remise en forme et de la réfection complète des ouvrages.Pour Audrey MBA, chef de service provincial des TP, le bilan est positif car il est maintenant possible aujourd’hui de circuler sur ces trois tronçons, malgré les quelques manquements constatés sur Bibasse-Sam où l’entreprise SGTPL brille désormais par son absence sur le terrain. Il a promis de convoquer cette société pour qu’elle s’explique.
Pour les populations rencontrées, la réhabilitation de ces trois tronçons est un grand ouf de soulagement, d’autant plus qu’elles peuvent maintenant se déplacer plus facilement.Une satisfaction exprimée par le Préfet du Département du Haut-Como, David ICKOMBOLO, qui s’est félicité de la réhabilitation de ces tronçons et a tenu à adresser ses remerciements au Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA pour tout le travail effectué pour le bien être des gabonais.Il importe de souligner que la réhabilitation de Sam-Mitzic et Bibasse-Sam a été financée sur fonds propres de l’Etat. Quant à Sam-Medouneu, il l’a été grâce à un financement obtenu auprès de la Banque Africaine de Développement (BAD).
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